Aujourd’hui, la pâtisserie a explosé en variétés de toutes sortes, multitude
qui ne facilite pas un comportement alimentaire sain. Pour se repérer dans la pâtisserie fraîche, nous pouvons considérer deux grandes catégories :
- Les pâtisseries au chocolat et à la crème…
- Les cakes, gâteaux fourrés aux fruits, quatre-quarts, pains d’épices,
madeleines, gaufres, crêpes…
Dans chaque catégorie, on retrouve des produits plus ou moins caloriques.
Dans le tableau ci-dessous on se rend compte d’ailleurs de plusieurs choses.
Comme on pouvait s’y attendre, les pâtisseries au chocolat ou à la crème sont plus riches que les pâtisseries "sèches". Assez curieusement,
les écarts ne sont pas très importants. Cela tient au fait qu’il y a une multiplicité de produits, plus de choix, et donc une meilleure dispersion.
Pour autant, on découvre plus de 40 % de différence entre la plus grasse et la moins grasse des pâtisseries au chocolat ou à la crème. Un écart qui dépasse 50 % pour les pâtisseries sèches dont les ingrédients
varient énormément d’une marque à l’autre.
Cette diversité peut laisser le consommateur perplexe. Que choisir ? se dit-il. Pour les pâtisseries sèches, il existe un ordre croissant des valeurs énergétiques : pain d’épices, moelleux aux fruits ou à la confiture, cakes, moelleux au chocolat. Les plus riches sont, de façon surprenante, les madeleines. Autre astuce à savoir, plus le chocolat est distribué de façon dite fondante plus le produit est riche et gras, alors que l’introduction de pépites de chocolat le fait plus ressembler aux produits secs.
Un renseignement supplémentaire est à prendre en compte : la pâtisserie
industrielle est généralement moins grasse que l’artisanale. À l’exception toutefois des crêpes, lesquelles n’ont en fait rien à voir avec la recette traditionnelle et leur appellation se justifie surtout par l’aspect donné et non par les ingrédients. Parents, attention ! |