Le seul risque que puisse causer l’aspartame concerne les personnes souffrant de phénylcétonurie (PCU). Cette maladie génétique rare rend difficile la digestion d’un acide animé : la phénylalanine. Or, cet acide est libéré par l’aspartame lors de la digestion dans l’intestin.
Cependant, l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments considère que le risque reste moindre. En effet, même avec des doses d’aspartame supérieures à la dose autorisée, les taux sanguins de base de phénylalanine, susceptibles de produire des effets secondaires chez l’enfant souffrant de phénylcétonurie ne sont pas atteints. Le risque reste donc faible.
Puis, sachez que les édulcorants sont des additifs alimentaires. Il faut donc les consommer avec modération, et les réserver aux adultes et adolescents.